Dans le mouvement de l’exposition de réalisée à la Maison des Droits de l’Homme de Villeneuve d’Ascq, le 20 juin a été donné deux ateliers collages dans l’établissement, pour parler du thème des esclavages au pluriel. Deux classes ont participé : Madame Lalin Cm1-CM2 ÉVerhaeren et la classe de Madame Noël et de Mr Potier Cm2 École Verlaine. Merci à la Mairie de Villeneuve d’Ascq, à Olivier Urbaniak directeur de la Maison des droits de l’homme, aux enseignants et accompagnateurs et surtout aux enfants. Je vous laisse découvrir quelques souvenirs en images.
un sujet fort partagé avec des enfants, bravo pour l’investissement et les oeuvres produites…
Merci. Oui, ils ont sacrément bien bossé et sont rentrés dans la démarche avec un naturel et un engagement remarquables.
Bonjour,
retour des courses, petit passage rapide
et il pleut depuis ce matin en mon pays
merci de ces moments d’atelier et de creativité
superbes images des collages a voir
Merci Juste. Les enfants ont été super !
Bonjour Thierry,
oui, on peut parler des esclavages au pluriel.
Il y en a eu de tout temps, depuis l’époque gréco-romaine et partout , aux US, dans les Antilles, en Afrique, au Moyen Orient…
Bon après-midi
Mo
Tout à fait. L’esclavage au travail, à la finance, au numérique…
les collages permettent de s’approprier les images des autres pour élaborer son propre langage….. ça colle ça colle et ça décolle …
Tout à fait, tu résumes très bien le propos. Merci de ta visite.
Hello,
repassage pour revoir cet atelier que tu as animé et bien collé eh eh eh
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Nous voici arrivés au vendredi
Mon tour amical des blogs en ce jour
Pour un weekend bien beau et de glamour
Vous souhaiter à tous, les amis
Ce sera encore de ces journées
Bien chaudes et ensoleillées
Que nous allons déjà vivre
Canicule que ce mois de mai délivre
Merci Juste. Bon week-end à venir !
J’aurais bien aimé participer à cet atelier ! Parfois je me dis que j’aimerais faire des collages.. Mais j’suis trop vieille ! (hi hi hi hi) et surtout trop loin ! 😉
Amitiés !
On peut être vieux très tôt et jeune toute sa vie.
Et puis à distance, ça se tente ou même en solitaire !
Osons !